Mon dernier-né

Heyyy ! Il n'y a pas beaucoup d'informations sur la suite mais bon, c'est bien quand même ! Sois pas timide poste la suite !! Et t'inquiète je sais ce que c'est quand on poste sa fiction, que les gents sont connectés , mais que personne ne commente ... Moi j'avais pas encore vu cependant :/
Aller sois pas timide !!!! met la suite !!

Chapitre 1 :

- Les enfants ! Debouuuuut ! Cria une voix féminine du bas de l'escalier.
Lesdits enfants ouvrirent péniblement les yeux.
- J'aimerais bien qu'elle arrête de gueuler pour nous réveiller, grommela Eris en se frottant les yeux.
Ses deux sœurs l'approuvèrent à l'unisson.
Une porte claqua. Soudain réveillées, les triplées sortirent à leur tour mais trop tard !
- Phœbé ! Cria Dysnomia en frappant de toute ses forces contre la porte.
- Non, non ! Répondit une voix cristalline. Je viens à peine d'y entrer !
Les trois filles grognèrent mais durent se résoudre à prendre leur mal en patience. Elles retournèrent dans leur chambre en traînant des pieds.
- Toc, toc !
Un garçon glissa sa tête par l'entrebâillement de la porte.
- Au cas où tu l'avais déjà oublié, lança Oizis, encore endormie, c'est une chambre de filles !
- Vous êtes mes sœurs ! Répliqua le jeune homme en entrant. Hé ! Faudrait peut-être songer à aérer, non ? Ça put le...
- Ça ira, je crois qu'on a comprit ! Le coupa Eris en lui lançant un regard noir, imitée par ses sœurs.
- Maintenant, tu sais pourquoi on entre pas dans une chambre de garçon, rajouta Oizis.
- Tu prends l'odeur que tu sens là et tu la multiplie par dix, tu auras une petite idée de ta chambre quand tu te réveilles, finit Dysnomia.
- Maintenant, vas-t'en, Makhai ! Ordonna Eris.
Comme à chaque fois que les triplées s'exprimaient, on aurait dit que c'était en réalité une seule et même personne qui parlait, non pas trois. Makhai sourit mais s'exécuta. Il valait mieux ne pas provoquer ces trois-là, à moins d'avoir des pensées suicidaires !
Une heure et demi plus tard, les cinq filles et les trois garçons que comptait la fratrie était fin prête et déjà sur le chemin de l'école, du collège, du lycée et même de l'université pour les deux aînés !
On aurait pu voir là le quotidien de n'importe quelle famille ! Erreur ! La famille Lagie n'était pas une famille ordinaire ! Ou plutôt, la nouvelle génération n'était pas ordinaire !
Morphée et Oneiroi partirent dans une direction opposée, le premier se dirigeant vers sa fac de droit et l'autre vers son IUT. Ensuite, ce furent les triplées, Eris, Oizis et Dysnomia qui prirent le chemin de leur lycée. Phœbé et Makhai accompagnèrent leur cadette Eosphoros jusqu'à l'école primaire, puis se dirigèrent vers leur propre collège.

- Hey ! Regardez ça ! Trois vampirettes viennent d'arriver !
- Nan, mais vous avez vu leurs yeux ?
Les moqueries habituelles, songea Eris, fixant sans ciller les deux filles qui venaient de parler.
Ces dernières reculèrent d'un pas. Les yeux bleus acier des triplées faisaient souvent cet effet-là ! Dysnomia eut un sourire.
- Quand bien même nous serions des... comment déjà ? Ah oui, vampirettes...
- … ne t'inquiètes pas, tu ne serais pas au menu...
- … on a trop peur que ta bêtise soit contagieuse !
Faire une phrase à trois pour déstabiliser leur interlocuteur était l'un des jeux préférés des trois filles. Et il marchait parfaitement bien !
- Vous avez des prénoms bizarres, commenta la première fille, bien décidée à leur faire face.
Elle arborait une mine outragée de reine déchue. Pitié, songea Dysnomia en se massant les tempes. Pas le remake du film américain de base avec sa bimbo reine du lycée, par pitié !
- Et toi, répliqua-t-elle, prenant un air hautain, ton prénom est trop banal !
- Tellement, d'ailleurs, que je ne le retiens même pas ! Ajouta Oizis avec un petit sourire à sa sœur.
Eris n'ajouta rien, mais elle adressa un clin d'œil complice à ses sœurs.
- Dis plutôt que c'est parce que tu n'as pas de mémoires ! S'enflamma la fille.
- Ou parce que tu ne vaux peut-être pas la peine qu'on se souvienne ni de ton nom ni de toi ! Répliqua Eris posément.
Les triplées rirent doucement et s'éloignèrent en direction du bâtiment principal où se déroulaient les cours. Elles commençaient avec une heure de maths, matière exécrée par elles et dans laquelle elles excellaient pourtant !
Le professeur, une petite femme stricte aux cheveux gris tirés en arrière, entra dans la salle, faisant taire la rumeur des conversations. La femme leva les yeux et leva un sourcil lorsque son regard se posa sur les trois jeunes filles.
- Tiens ! Remarqua-t-elle. Les trois Lagie sont de retour e cours ? En quel honneur ?
Simultanément, les triplées haussèrent un sourcils mais ne répliquèrent pas. Pour quoi faire ? C'était inutile ! Comment pouvaient-elles avouer à leur professeur le plus sévère qu'elles n'étaient là que parce que leur père était revenu de son voyage d'affaire et n'avait pas franchement apprécié de savoir que ses enfants, même la cadette âgée de neuf ans seulement, n'étaient allés en cours qu'une semaine en tout et pour tout en deux mois ?
Mais le professeur insista :
- Je vous ai posé une question, il me semble.
- Et nous n'avons pas répondu, rétorqua Dysnomia. Fin de la discussion.
- Si on pouvait au moins en revenir au cours, histoire qu'on ai pas trop l'impression de perdre notre temps, rajouta Oizis.
Encore une fois, Eris resta silencieuse, bien qu'elle approuva ses sœurs. Le reste de la famille la surnommait la Muette, parce qu'elle parlait beaucoup moins que les autres.
Les trois filles eurent droit à une heure de colle pour leur insolence, à laquelle vint se rajouter une deuxième heure de retenue lorsque Dysnomia fit remarquer très justement qu'Eris n'avait rien fait.

La journée se passa lentement, chaque professeur s'étonnant à chaque fois de retrouver les triplées. A l'heure du déjeuner, les trois adolescentes s'éclipsèrent. La raison officielle était qu'elles préféraient manger dehors, la raison véritable, qu'elle n'avait pas besoin de manger. En réalité, elles traînaient dans un parc non loin du lycée et ne revenaient qu'à la reprise des cours.
Mais ça, personne, pas même leurs parents, ne le savait.


Voilà le chapitre 1 ! Très banal, je sais et on en apprend pas beaucoup plus ! Il ne me satisfait pas des masses, dites-moi ce que vous en pensez !

La suite de la fic !! vous savez quoi ? j'ai trop la flemme de mettre des couleurs, donc tout va rester blanc ! c'est bien aussi non ?




Chapitre 2 :


Lorsque Makhai et Phœbé entrèrent dans la cour de leur collège, l'accueil fut tout autre que pour leurs sœurs. La carrure de l'adolescent y était sans doute pour quelque chose : il n'était rien d'autre que soixante quinze kilos de muscles pour 1m75 alors qu'il avait tout juste quatorze ans. Autant dire qu'il détonnait dans la foule de collégiens. Quand à Phœbé, elle possédait un étrange charisme qui faisait que personne ne pouvait la détester, malgré toute sa volonté. Quel duo étrange que ces deux-là ! Et c'était pire quand leurs aînés étaient libres suffisamment tôt le soir pour venir les chercher.

Bien que dans deux classes différentes, et tout comme pour leurs sœurs, les professeurs ne purent s'empêcher de remarquer leur retour en classe. Ce qui les surprenait le plus était leur intelligence, si supérieure à celle des autres élèves que cela frôlait le génie ! Mais à vrai dire, leur cinq aînés qui étaient déjà passés dans ces murs avaient les mêmes capacités hors du commun !

- Héé ! Makhai ! T'es toujours célibataire ?
C'était l'heure du déjeuner. Le jeune homme était assis face à sa sœur et ils parlaient tranquillement, sans toucher à leur assiette pleine de nourriture toujours intacte lorsqu'un groupe de filles les interrompit. Phœbé leva les yeux au ciel mais retint juste à temps la réplique cinglante qui lui brûlait les lèvres. Après tout, c'était les affaires de son frère, il était assez grand pour se débrouiller tout seul.
Makhai fit un clin d'œil à sa petite sœur et ne daigna même pas répondre à celle qui l'avait interpellé.
- Oh ! J'te parle !
- Pas moi, rétorqua Makhai. Maintenant, j'aimerais bien finir de manger tranquille, si ça ne te dérange pas !
- Manger ? S'exclama la fille. Mais ni toi ni ta sœur ne mangez jamais ! Vous ramenez toujours vos assiettes pleines ! C'est du gaspillage !
A présent, toutes les conversations avaient cessé, tous les autres élèves écoutant la conversation qui se tenait là.
- Vous êtes anorexiques ou quoi ?
- Pas besoin de me vouvoyer, répliqua le jeune homme en levant les yeux au ciel.
Phœbé pouffa de rire.
- Ah tu trouves ça drôle ? Se vexa la première fille. Imagine si le principal savait qu'il y a deux anorexiques dans l'établissement ?
Sa phrase eut pour effet immédiat d'effacer le sourire de Phœbé. Si le principal était au courant, il le dirait à leur mère, et alors, ils passeraient un sale quart d'heure, et ce serait pire si c'était leur père qui était averti en premier !
Alors Makhai et Phœbé furent forcé de manger pour faire bonne figure et l'incident fut clos. Ce que personne ne sut, c'est que les deux en furent malade toute l'après-midi.

Nous n'allons pas nous attarder plus que nécessaire sur la vie quotidienne des huit frères et sœurs ! Leur véritable vie commençait le soir dès qu'ils se retrouvaient à la fin des cours.
Tous avaient passé une plus ou moins bonne journée. Makhai et Phœbé furent forcés de raconter leur mésaventure. Impossible de cacher quoi que ce soit avec Eosphoros !
C'est répugnant ! Commenta la fillette quand ils eurent fini leur récit.
T'as pas ce genre de problème toi ?
Si. Mais je peux compter sur ma seule et unique amie, Amy !
Ils éclatèrent de rire. Cela pouvait sembler bizarre qu'une fratrie soit si unie, surtout quand l'aîné avait presque vingt-et-un an et la cadette, tout juste neuf ! Mais la fratrie Lagie n'était pas comme les autres.
- C'est la pleine lune, ce soir, dit Eris à mi-voix.
Tous se tournèrent vers elle.
- En espérant qu'il n'y ai pas de nuages pour nous la cacher, comme le mois dernier, soupira Oneiroi, le deuxième de la fratrie.
- Ça serait dommage, confirma Eosphoros en se levant d'un bond.
- Il faut nous préparer, lança Morphée.
Les triplées se sourirent et se mirent debout. Il était temps de partir, en effet !

c'est super, je me pert un peu dans tout les personages mais je vais m'y faire. ce sera peut être plus simple quand on sera de quoi ils sont capables.
Allez bon courage et continue. j'attend la suite.
(mais je serait patiente je sais ce que c'est les profs de BTS je suis passé par là )

Chapitre 3 :



Les Huit avaient formé un cercle, se tenant par les mains. Quiconque pouvait les voir dirait que c'était tout sauf enfantin !
Ils avaient volé pendant une bonne demi-heure, portés par les ailes noires de leurs amis corbeaux, jusqu'à atteindre le cœur de la forêt voisine. Ce n'était pas la première fois qu'ils venaient ici, et certainement pas la dernière.
Et maintenant, ils formaient ce cercle, attendant que la puissance magique qui coulait dans leurs veines fut à son comble.
Le stupide nuage gris qui cachait la lune, pleine, ronde, magnifique, la dévoila enfin tout doucement. Les Huit gémirent en même temps. Ils se lâchèrent les mains. Se tenir, rester en contact physiquement avec les autres, maintenant que le cercle était construit. Des minces fils d'argents les reliaient les uns aux autres par un axe qui semblait traverser leurs cœurs.
Eris s'avança de deux pas à l'intérieur du cercle, toujours reliées aux autres. Elle ferma les yeux et entama sa transformation.
C'était toujours elle qui commençait parce qu'elle était la plus puissante. Sa transformation était la plus spectaculaire et c'était pour cela qu'ils avaient choisi le cœur de la forêt comme lieu de leur rituel. Comment expliquer à un humain normal que la magie existait bel et bien, et qu'elle était présente dans leur sang depuis environ trois milles ans avant Jésus Christ ? Comment expliquer à un non-initié que leurs esprits respectifs avaient près de deux milles cinq cents ans et était le fruit de nombreuses réincarnations ?
Les pieds d'Eris quittèrent lentement le sol. Les paupières closes, la tête rejetée en arrière, ses longs cheveux noirs claquaient au vent qu'elle seule pouvait sentir. Uns sorte de vague argentée naquit à ses pieds et, remontant vers sa tête, la transforma. Plus aucune trace de son vieux jogging noir, mais à la place une robe à corset en satin noir. Ses longs cheveux indisciplinés étaient soudain pris au piège d'un ruban de la même couleur et de la même matière que la robe. Quatre éventails se matérialisèrent dans ses mains aux longs doigts : dans la main droite, ceux qui représentaient l'Eau et la Terre, dans la gauche, l'Air et le Feu. Eris maîtrisait non seulement les Éléments mais aussi les matières, toutes issues des quatre Éléments fondateurs. Ses pieds nus se posèrent sur l'herbe givrée, mais elle ne semblait pas ressentir le froid de l'hiver. Sa peau ordinairement pâle semblait luire au clair de lune.
Une fois sa transformation accomplie, Eris se tourna vers Oizis qui, lorsqu'elle était dans le cercle, était à sa droite. Sans un mot, elle posa le bout de son index et son majeur droits sur son front et la regarda entamer sa propre transformation. Oizis était à présent vêtue à l'identique d'Eris, sans les éventails. Son omniscience ne passait par aucun instrument. La jeune fille voyait en effet aussi bien le passé, que le présent et, plus important encore, le futur !
Ce fut ensuite au tour de Dysnomia de se transformer. Son domaine était les illusions. Que ce soit une illusion collective ou individuelle, que ce soit pour aveugler un adversaire ou pour réaliser à sa manière le rêve de quelqu'un, elle était puissante et dangereuse.
Après les triplés, vint le tour d'Eosphoros. La fillette était un cas à part car sa première transformation avait eu lieu deux mois auparavant, à la plus grande surprise de ses aînés. Eux s'était transformés entre douze et seize ans. La fillette possédait plusieurs pouvoir : le premier était de détecter qui mentait ou non, le second, de réparer ce qui avait été brisé – à condition que ce soit matériel ! - et le troisième était ses grands pouvoirs de guérison. Sa tenue différait de celle de ses aînées, car, en effet, elle n'avait ni l'âge ni la morphologie pour porter un corset ! Mais ses manches longues et sa robe qui traînait sur le sol mettaient valeur la finesse de sa taille et la pureté de son visage parfait.
Phœbé avait une tenue à l'identique de sa cadette. Elle n'avait en apparence aucun des dons dangereux comme les triplés mais elle possédait un étrange charisme qui faisait que personne ne pouvait être contre elle. Bien entendu, sa manipulation des autres n'était guère subtile parce que, avec un peu de volonté, on pouvait lui résister, mais encore fallait-il en avoir envie !
Puis, après les filles, ce fut au tour des garçons. Comme les filles, ils étaient pieds nus et leurs longues chevelure flottaient librement sur leurs épaules – Oneiroi avait les cheveux qui lui arrivaient jusqu'à la taille ! Eux étaient vêtus d'un pantalon et d'une chemise entrouverte noirs. Eux aussi avaient des pouvoirs : Morphée pouvait envoyer des éclairs – on aurait dû l'appeler Zeus ! Grommelaient souvent les triplées -, Oneiroi était un spécialiste des tremblements de terre et possédait d'étranges affinités avec les équidés – lui c'était Poséidon, le remake ! - et Makhai, outre sa force digne d'Hercule, possédait un don très proche de celui de Phœbé, sauf qu'il était plus subtil, les personnes qu'il manipulait ayant l'impression de prendre les décisions toutes seules.
C'était une fratrie unique, à part peut-être celle de leurs cousins d'Irlande. L'Irlande, terre de magie par excellence, la vieille terre, l'île d'Émeraude, Eire... Pour eux, ce n'était pas étonnant qu'ils aient des origines là-bas, surtout par leur mère, elle-même irlandaise – bien qu'il sembla depuis un certain temps, qu'elle avait tendance à oublier ses origines et à dénigrer sa mère, Grand-Mère-Qui-Sait-Tout, comme l'appelaient ses petit-enfants.
Une fois la Transformation de chacun accomplie, la fratrie s'éleva dans les airs en état de lévitation – le premier de leurs pouvoirs !
Ils ne faisaient rien de particulier, se contentant de survoler la forêt au gré du vent qui se faisait de plus en plus violent.
- Eris calme le jeu là ! S'écria Eosphoros qui avait manqué, encore une fois, de se faire emporter par les brusques rafales de vent.
- C'est pas moi ! Se défendit la jeune fille, un immense sourire aux lèvres.
Elle se retenait d'éclater de rire, ce qui ne correspondait pas du tout avec l'image qu'elle donnait d'elle-même. Elle était, en effet, la seule à rester stable, grâce à son affinité avec l'Air. Cependant, elle déplia l'éventail correspondant à l'Élément et l'agita doucement avant de brusquement le replier à demi. Le vent qui soufflait cessa instantanément. Eris regarda alors le ciel.
- C'est contre-nature d'empêcher le vent de souffler par une telle nuit, souffla-t-elle, son accès d'hilarité définitivement oublié.
Ses frères et sœurs suivirent son regard vers le ciel. Il s'était couvert et la lune avait été rapidement cachée par de gros nuages noirs.
- C'est un soir de tempête, comprit Oneiroi. On devrait se poser à terre.
- Non ! S'exclama Phœbé. Rentrons en volant à la maison, on y sera plus rapidement et Eris pourra ainsi relâcher la pression !
- Tu es folle ! Fit Makhai d'un ton grinçant. Si on nous voit, on est mal !
Tous se tournèrent vers Eris, attendant sa décision finale.
- On se pose, décida-t-elle, joignant le geste à la parole. J'ai trop de mal à tenir là !
Elle avait parlé les dents serrées à cause de l'effort qu'elle devait faire pour maintenir l'Élément sous ses ordres. Y'avait pas à dire, les Éléments n'étaient vraiment pas de bons toutous obéissants ! Tous se posèrent sur le sol dur et Eris put enfin rouvrir son éventail, libérant le vent en fureur. Leurs longs cheveux claquaient sous la bise glaciale, mais, à part chasser les mèches rebelles de leurs yeux, ils ne s'en préoccupaient pas. Eris avait l'air épuisée, c'était la seule chose qui comptait pour eux. Jamais encore ils ne l'avaient vus si fatiguée à la suite d'un exercice de magie !
Ils rentrèrent rapidement et très discrètement, afin de ne pas attirer l'attention sur eux. Malheureusement pour eux, ils ne virent pas les yeux inquisiteurs qui brillaient dans le noir fixés sur eux, trop occupés qu'ils étaient à soutenir Une Eris qui ne pouvait même plus tenir sur ses jambes !

Mais tu nous force a t'en demander plus en coupant comme ça !

Bon je te met pas la pression, je vais patienter (un peu).

je vois trés bien et t'a raison les études d'abord. Perso j'ai préparer mon BTS en alternance alors à part le boulot et les cours je faisaispas grand choses d'autres (surtout pas écrire une super histoire).

Mon avatar et ma signature sont d'Heymiie.

c'est parce que les vacs arrivent que t'a plein d'exposé. les profs les corrigeront pendant les vacances (pas cons les profs).
profite bien de tes vacances t'a plus qu'une semaine a tenir.

Aaaah je viens de découvrir ta fic !
Met la suiiite !
J'adore je veux pas que ça s'arette
Et comme on dit :
héhé, je l'utilise quand je veux xD
Breef, j'attendrais mais dépêche toi !!!

Tant pis on attendra la réécriture et je suis sur qu'elle sera encore mieux