Mélanges d'autres mondes

Imaginez un autre monde. Un monde où existe une autre forme d’être-humains. Quand je dis être-humains, je parle d’être ayant une enveloppe charnelle semblable aux humain. Ce sont les Euquigam.
Sans l’être vraiment, vous connaissez leurs existence même si vous n’y croyez pas. Peut-être que si je vous parlais des grands procès de Salem cela vous éclairerez?
Vous pensez peut-être que je vais vous parler de sorcière. Et bien, c’est une sorte d’Euquigam. Il existe aussi les viraux et les changes-formes. Malheureusement, ils ne sont plus qu’une minorité. La communauté des chasseur d’esclaves non-humains (CCENH) continue de s’en prendre à eux encore et encore ce qui contribue à les faire baisser en nombre. Ce sont les seuls humains au courant de notre existence. Ils n’ont pas encore trouvé Ima le pays flottant des Euquigam. Mais pour combien de temps encore?
Avant de commencer de vous conter cette histoire, il me reste encore un point à éclaircir; Ima est un pays flottant au dessus du seul et unique continent de cette planète nommé Erret. Ima est invisible aux yeux des humains et de la CCENH. Ima voit observe et écoute. Voici ce qu’elle à remarquée;

Le verre que je tenais m’a échappé des mains et alla se briser en mille morceaux sur le sol. Je ne voyais plus rien. Le noir complet. Je savais se que cela voulait dire, aussi j’attendis que le message me parvienne. Lorsque je l’entendis et que ma vue me fus revenue, je vis ma tante et mon affreuse cousine Paule me regarder. Je bredouillais une excuse bidon comme quoi Marine avait besoin de moi pour ses devoirs, puis filai hors de la maison.
Je courais à toute allure, même lorsque je faisais la course avec Ben je ne courais pas aussi vite. Benjamin - alias Ben est mon frère de lait. Nous sommes de très bon amis depuis toujours et c’est aussi un vampire.
Bien sure, ce n’était pas notre première bêtise, loin de là même, mais c’était de loin la plus grave que l’on ai jamais commise. Grave, inavouable et punissable.
Le précipice commençait à se dessiner devant nous. D’habitude, je n’avais pas l’impression qu’il était aussi loin! J’avais l’impression que nous nous en approchions doucement alors que nous n’avions jamais couru aussi vite. Peut-être même TROP doucement. Serions nous arrivé à temps?
Enfin, nous arrivâmes au bord et sens aucune inquiétude Ben et moi sautâmes dans le vide. Le sol avait beau être à environs cinq cent mètre en dessous de nous nous n’en avions rien à faire. Après tout Ben est un vampire et moi…
Le sentis mon corps se recouvrir d’écaille turquoise, mon nez se retrousser, mon crane prendre une autre forme plus anguleuse, animale. Une longue queue et deux ailes jaillirent de mos dos à l’unisson. Mon drakis avait émergé. J’étais devenue un dragon.
Je battis des ailes pour prendre encore un peu de vitesse, puis m’arrêté avant de percuter le sol - chance que n’eu pas Ben.
Nous nous dirigeâmes vers le lieu indiqué et nous arrêtâmes sur un monticule de terre surélever pour juger de la situation. Nous tombâmes alors sur un spectacle qui restera gravé dans ma mémoire.
Soudain, je perçu un déplacement d’air derrière moi, je me retournas vivement et vis une grosse dragonne orange vif. Paule m’avait suivi.
- Qu’est-ce que tu fous? lui sifflai-je méchamment.
- je te retourne la question! Ne me dis pas que tu compte sauvé ta ringarde de copine? Tu connais la loi, tout le monde la connait!
Je regardais le champs devant moi, où Marine tentait tant bien que mal d’échapper aux quatre jeunes chasseurs qui lui tournaient autour et tentaient de l’emprisonner dans l’un de leurs filets.
Marien est une sorcière. Une sorcière blanche et ses pouvoirs étaient sans effets permanent. C’est vrai, que peut bien faire une sorcière guérisseuse et télépathe contre des chasseurs? De bien jeune chasseurs n’ayant sûrement que peut d’expérience certes mais des chasseurs quand même.
Ben et Paule me regardaient, chacun à leurs façon. L’un d’un air interrogateur comme s’il avait besoin de ma permission pour faire quoi que se soit et l’autre d’un air suffisant, certaine que j’allai faire ce qu’elle me disait.
Alors, je pris ma décision. Je m’accroupis silencieusement et me préparais à fondre sur eux, prête à les faire griller sur place.
Paule dû sentir se que je comptais faire et me sauta dessus pour m’empêcher d’y aller. Telle que je la connaissait, elle était capable de me tenir elle même alors que l’on capturait ou bien tuait ma meilleure amie juste sous mes yeux.
D’une boutade, je l’éjectais de mon dos. Je relevas la tête pour voire si elle avait comprit et m’aperçue que je l’avais projetée droits dans le champs.

Lorsque je pris conscience de ce que je venais de faire, les chasseurs étaient déjà en train de combattre sur deux fronts. Paule et Marine étaient fortes mais elles ne tiendrais pas éternellement de plus que trois autres chasseurs venaient d’arrivaient en renfort.
Après un bref coup d’œil à Ben nous nous jetâmes à notre tour dans la mêlée.
J’essayais de me frayer un chemin vers Marine, qui était de loin la plus fragile, à coup de crocs, de griffes et de flammes incandescente. Enfin arriver jusqu’à elle je le pris entre mes deux pattes avant. Ce n’était pas très confortable mais cela devrait me permettre de la remonter le plus facilement possible. J’esquivais un filet puis battis des ailes pour m’envoler.
Je nous soulevais et partis aussi vite que je pu poser Marine sur Ima, puis retourna chercher Ben et l’affreuse Paule même si pour cette dernière l’envie de la revoir était totalement inexistante.
Quatre chasseurs s’acharnaient sur Paule et trois sur Ben. Lesquels commençaient à cause du grand nombre de chasseurs. Je m’étonnais que Paule ne se soit pas déjà enfuit, elle qui est si forte, courageuse et intelligente selon ses propre dires.
En l’observant un peu plus, je remarqua qu’elle avait replié une aile contre son corps. On y apercevait plusieurs entailles fines, longues et profondes d’où suintait une quantité effroyable de sang. Son aile était quasiment réduite en lambeaux. Son visage transpirait de peur et de douleur. Je n’avais jamais vu de tels sentiment transparaitre sur son visage et je dois avouer que cela me fis étrangement plaisir.
Je me détournais d’elle et saisi Ben que je remonta auprès de Marine qui, penchée au dessus du précipice, regardait dans notre direction d’un air inquiet et coupable, même si elle ne pouvait pas encore nous voir. Lorsqu’elle nous aperçut enfin son visage s’illumina de joie et de soulagement.
Ces habits étaient déchirés et imbiber de boue et de sang. Ces long cheveux noir ailes de corbeaux étaient emmêler et en plus de la boue et du sang quelques feuilles et autres résidus s’y étaient accrochés. Ben était à peine en meilleur état ce qu’il ne devait seulement qu’à sa nature de vampire. Tous deux s’en étaient plutôt bien sortit. Je humais dans leur direction pour m’assurer qu’ils n’avait rein de plus que ce que je pouvais voir. Une fois fait, je me retourna à contre cœur pour y retourner une dernière fois chercher l’affreuse Paule.
J’allai m’élancer à sa recherche quand je sentis une pression inhabituelle sur le bout de ma queue. Je regarda par dessus mon épaule pour prendre conscience du problème. Et je vis que Marine s’y était fermement accrocher, chose que je ne compris absolument pas sur le coup.
-Tu ne compte quand même pas aller lui venir en aide, si?
Je lui répondis dans la langue des dragons, la seule que je pouvais utiliser son cette forme et que Marine comprenait parfaitement:
-Je ne vais tout de même pas la laisser là-bas! Tu sais que je ne l’aime pas plus que toi et que ca me tue d’aller la chercher mais…
-Mais quoi? Me coupa-t-elle, Qu’y a-t-il? Elle a fait de ta vie un enfer jusqu’à maintenant, elle ne récolterais que ce qu’elle mérite!
C’est alors que ben intervînt:
-Tu sais que si tu vas la chercher et que tu réussi à la sauver, se n’est pas ca qui l’empêchera de signaler que l’on a transgresser la loi.

Troisième partie

Je restai là hésitante, regardant le fond du précipice comme si je pouvais trouver la réponse à mon dilemme ici. Et étonnamment c'est de là qu'elle vint. Elle se manifesta en un long cri d'agonie pousser par nulle autre personne que ma cousine. Je me tournis vers Ben qui avait de long l'ouï la plus performante et lui demanda s'il entendait ce qui ce disait en contre-bas. Il me répondit que les chasseurs étaient en train de se congratuler entre eux pour une si belle prise. D'après lui la respiration de Paule était sifflante comme elle l'aurait été si on lui avait percer un poumon, chose qui s'était probablement produite d'ailleurs. Je n'avais vraiment aucune envie de risquer ma peau pour quelqu'un d'aussi abject de plus qu'elle ne se serai même pas dérangée. Après un petit moment de doute – une fraction de seconde tout au plus, je décidais de la laissée là et repris ma forme d'origine.
Ce qu'il y avait de bien c'est qu'à chaque fois que je me transformais en dragon mes habits disparaissaient pour réapparaitre lors du processus inverse. Je ne risquais donc pas de me retrouvais à poil. Ce qu'il y avait de bien aussi c'est que si je me salissais en tant que dragon je ne l'étais pas en tant qu'humaine.
Marine et Benjamin me regardèrent d'un œil mauvais, faussement jaloux de l'état de mes vêtement qui étaient comme neuf alors que les leurs étaient dans un état pitoyable. Je leur lançais un grand sourire et nous allâmes chez nous d'un pas lent, car même si nous voulions rentrer le plus vite possible pour prendre une douche et dormir une bonne partie de notre éternité nous devions élaborer un mensonge qui semblerait plausible.


Chapitre 2

1° Partie

Cela faisait maintenant quelques temps que nous avions éviter de finir entre les mais des chasseur et je dois dire que la scène qu'on nous avez fait lorsqu'on avait appris notre mésaventure avait été au delà de tous ce que j'aurai pu imaginer. Depuis quelques jours tout été enfin revenu à la normale et je comptais bien en profiter.
Ma tante avait été dans tout ces état lorsque nous lui avions annoncer que Paule s'était fait prendre. Après tout comment une jeune fille «si prometteuse et forte» avait pu se faire prendre alors que trois grain galée avaient pu s'enfuir avec rien de plus qu'une entaille ou deux? Elle avait même été jusqu'à nous accusé de nous être entraider et que c'était quelque chose de puni par la loi et que notre place était donc soit derrière des barreaux soit aux mains des chasseurs. Ce à quoi je lui avais claquée la porte au nez en lui disant de ne revenir me parler que lorsqu'elle aurait repris raison. Enfaite c'était parce qu'elle m'avait mise en colère. Après tout, je venais de manquer de me faire tuer et elle la seule chose qu'elle trouvait à dire c'est des méchancetés. Et je dois dire que lorsque je suis en colère je lâche parfois des trucs il aurait mieux valu que je taise et je ne pouvais pas prendre ce risque puisque je n'était pas toute blanche dans cette histoire. Elle venait à peine de s'excuser pour sa conduite d'ailleurs ce qui contribuait à faire que tout redevienne à la normale. Le seul truc qui ne me semblait pas «normal» c'était l'absence de ma cousine, bien que, je peux vous le dire son absence ne me manquait absolument pas.
Soudain, j'entendis de grand cris dehors, ce que je ne comprenais pas puisque tout était censé être redevenu normal! On poussa la porte de la maison brutalement, on aurait voulu la défoncée que le bruit n'aurait pas été moindre. Irritée j'ouvris à mon tour la porte pour fixer la personne qui avait fait preuve d'aussi peut de délicatesse. Et ce que je vis me pétrifia sur place. Paule...

2° Partie

Elle avait les yeux injectés de sang, qui semblaient fous et balayaient la pièce à la recherche de quelque chose, lorsqu'elle eu trouvé se qu'elle souhaitait trouvé si ardemment elle se jeta dessus. Tout dans sa manière de se mouvoir me faisait pensé à un chien enragé.

Pongée dans mes pensées comme je l'étais, je ne me rendis pas tout de suite compte que c'était moi qu'elle cherchait... au dernier moment, j'arrivai à me jeter de côté et éviter de me faire tuer. Elle se remit vite debout et retenta de m'atteindre, se faisant, elle se ré-transforma en drakis, de manière à avoir des réflexes et une musculature plus performant. Je savais que dans un cas comme celui-ci, je ne ferais pas le pois, aussi je décida de muter également, même si là aussi, si personne n'intervenait, je risquais de me prendre la pâtée du siècle. Alors que j'étais encore en pleine mutation, elle me percuta de plein fouet et nous envoya boulé à l'autre bout de la pièce et percuter violemment le mur après avoir fauché un chaise qui vola en éclat et produisant un nombres incalculable de copeaux de bois et d'échardes si fines qu'elles allèrent se nicher sous nos écailles, entaillant notre peau, qui dépourvue d'écailles étaient si fragiles. Le sang commença à s'écouler doucement de nos plaies ainsi ouvertes.

Ma tante nous regardait toutes deux comme si nous avions perdu la raison, d'un air horrifié. Au fur et à mesure que son regard évaluait la gravité des dégâts, son visage tournait au rouge, signe de grande colère. Et dire qu'elle ne s'inquiétait même pas pour nous, … Ses yeux lançaient des éclairs en tous sens et chose annonciateur de gros gros problèmes; elle s'adressa à nous d'un voie froide et sans appel, nous ordonnant d'aller reprendre une forme « correcte » comme elle le dit si bien, sans faire plus de pagaille sous peine de punitions et dieu seul sait combien elle est imaginative pour le correction. Faites moi confiance sur ce point; j'en ai déjà fait les frais.

Je rentra dans ma chambre et me prépara le plus vite que je pu pour pouvoir essayer d'avoir une chance de m'expliquer face à ma tante, ou alors de fuir, chose bien tentante, je dois l'avoué. J'allai descendre lorsque j'eus l'idée d'avertir mes amis du danger, aussi je leur envoya vite fait un SMS chacun, car les appelé aurais pris trop de temps étant donné qu'ils sont très curieux et auraient posé trop de questions auxquelles je n'aurais pas la temps de répondre.

Une fois fais, je sortis pour me retrouvé en face de ma tante plus rouge que jamais, mon affreuse cousine pleurant faussement dans ses bras, le téléphone sagement posé à côté et comble de l'horreur plusieurs homme en uniformes qui attendaient tout près et qui me saisirent par les bras des que j'eus fis un pas en dehors de ma chambre et qui d'une voie coléreuse annoncèrent:

-Mlle, vous êtes en état d'arrestation, Mme, mlle, ne vous inquiètez plus nous allons nous en occupé.

C'est ainsi que moins d'une heure plus tard, je me retrouva enfermée dans une des plus lugubre prison du conté.